Une vingtaine de Manchots ont répondu présent à la soirée Laser Game. Deux équipes sont formées par l'ordinateur et c'est parti dans une salle. Plusieurs tactiques se mettent en place : il y a les mobiles, tel Pierre Thery qui surgit de nulle part et disparaît aussitôt, les prudents comme Jo le Fulg tapis derrière un panneau et qui alerte de la moindre intrusion ennemie, les violents comme Hervé ou Gauthier qui se lancent dans le corps à corps au moindre face à face ou les snipers comme Théo à 0,76s le tir et 81 touches en 20 minutes de jeu !

La première partie est archi-dominée par les rouges : Théo (1er - 6700 pts), Corentin (2ème - 3800), Joël (4ème - 3450) Fred W (6ème - 2500), Manu (7ème - 1900), Alice (9ème - 1700), Guillaume (10ème - 1700), Adrien (11ème - 1400), Elodie (13ème - 1100) et Matthieu (16ème avec -100). Chez les bleus, seuls Pierre (3ème - 3750), Alexandre (5ème - 2550), Fred B (8ème - 1350) voire Gauthier (12ème - 1350) ont surnagé dans cette bérésina. Hervé (14ème - 1050), Tristan (15ème - 400), Saskia (17ème avec -550), Vaïtiaré (18ème avec -700), Fee (19ème avec -1300) et Luc (20ème avec -1900) ont éprouvé à moulte reprise le feu de l'adversaire. Le score final est sans appel : 24050 à 6500.

Autant dire que pour la seconde partie les équipes sont refaites avec l'arrivée du BG David et de Caro. Si Théo domine à nouveau cette seconde partie en s'octroyant la première place avec un total de 5100 pts, cela ne signifie pas pour autant la victoire des siens. En effet, l'équipe bleue à laquelle il appartient s'incline 13600 à 16950. Fred B (4ème - 2500), Joël (6ème - 1850), Gauthier (8ème - 1750), Alice (9ème - 1500), Matthieu (15ème - 700), Adrien (16ème - 650), Hervé (17ème - 350), Tristan (19ème - 0), Luc (20ème - -100) et Caro (22ème - -700) ont subit la loi de Corentin (2ème - 3350), Pierre (3ème - 3250), Manu (5ème - 2150), Fred W (7ème - 1750) - David (10ème - 1400), Alexandre (11ème - 1350), Elodie (12ème - 1350), Vaïtiaré (14ème - 1050), Saskia (18ème - 300) et Fee (22ème - -700 ; la wermacht n'est plus ce qu'elle était).